« Seulement voilà. Il n’y a rien, mais absolument rien de plus que l’honnête citoyen respectueux des consignes puisse faire pour éviter les éclosions dans les milieux vulnérables sous la responsabilité de l’État. »

C\’est ce que l\’on fait en ce moment. On est dans un bateau troué qui coule, on veut que le bateau de rende à destination. À la place de boucher les trous, on demande aux enfants sur le bateau de se déshabiller pour qu\’il pèse moins lourd. Et on s\’arrête dans toutes les îles sur le chemin pour rester au sec.

Sans protéger adéquatement les aînés dans les milieux de vie fragiles, fermer les écoles, c\’est des \»peanuts\». Elles fermeront pour possiblement ne pas réouvrir, car cela va continuer à #malaller. Deux solutions à envisager : que les travailleurs de CHSLD et autres milieux fragiles travaillent dans un milieu et dépister les travailleurs de la santé de milieux fragiles à chaque semaine; cela sauverait plus de vies.

Bien entendu, il n’y a pas que les décès dans les CHSLD qui sont important, la capacité du système de santé l’est aussi et n’est pas considérée dans cet article. Même en examinant cela, la fermeture des écoles -c’est-à-dire l’école en ligne- ne changerait pas grand-chose à cette triste réalité.

CONFINER LE GOUVERNEMENT ? – JOANNE MARCOTTE, LaPresse

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